Quant au film, étrange coïncidence, je vois que Pierre Baillot figure au générique. Figure-toi qu'il fut un temps mon prof de théâtre... Il joue aussi notamment dans le fameux Out 1 - Noli me tangere de Rivette.
Jean-Pierre Sentier était un poète funambule, à la manière de Pierre Étaix, de Jean-Daniel Pollet ou de son ami Jean-François Stévenin.
Avant d'être emporté à 54 ans par un cancer, il avait été victime d'un AVC qui avait figé la moitié de son visage et amoindri son élocution mais il s'efforçait de poursuivre néanmoins ses projets.
Au début des années 90, lors des Rencontres Cinémaginaire d'Argelès-sur-mer, il m'avait très patiemment décrit le film qu'il voulait réaliser après Le coup suprême, qui devait s'intituler (ce me semble) Un grain de sel : une histoire de Paris noyé sous une tempête de sel et de disparition de la tour Eiffel. Il n'en reste hélas que le synopsis.
Au Burkina, l'adultère, c'est rédemption : Ainsi raisonnent les maris déçus à Thion. Une aimante maîtresse, c'est le paradis Pour qui n'a, face aux dieux, que d'yeux pour l'Arcadie.
C'est juste pour combler le manque des Papous dans la tête, en ce premier été où on nous les a sabordés. On fait ce qu'on peut : n'est pas Pirotte qui veut…
Piro[ue]tte :
RépondreSupprimerMa nuit chez Mauve
(Un bruit qui court)
Très joli, vraiment...
SupprimerQuant au film, étrange coïncidence, je vois que Pierre Baillot figure au générique. Figure-toi qu'il fut un temps mon prof de théâtre... Il joue aussi notamment dans le fameux Out 1 - Noli me tangere de Rivette.
Tu sais combien je prise les coïncidences…
RépondreSupprimerJean-Pierre Sentier était un poète funambule, à la manière de Pierre Étaix, de Jean-Daniel Pollet ou de son ami Jean-François Stévenin.
Avant d'être emporté à 54 ans par un cancer, il avait été victime d'un AVC qui avait figé la moitié de son visage et amoindri son élocution mais il s'efforçait de poursuivre néanmoins ses projets.
Au début des années 90, lors des Rencontres Cinémaginaire d'Argelès-sur-mer, il m'avait très patiemment décrit le film qu'il voulait réaliser après Le coup suprême, qui devait s'intituler (ce me semble) Un grain de sel : une histoire de Paris noyé sous une tempête de sel et de disparition de la tour Eiffel. Il n'en reste hélas que le synopsis.
Au Burkina, l'adultère, c'est rédemption :
RépondreSupprimerAinsi raisonnent les maris déçus à Thion.
Une aimante maîtresse, c'est le paradis
Pour qui n'a, face aux dieux, que d'yeux pour l'Arcadie.
Moralité :
L'amante, à Thion, sauve
Ou plus simplement, cet exhortation à se précipiter aux urnes :
RépondreSupprimerLamentations ? Vote
Pardon, la chaleur fatigue :
RépondreSupprimer"Ou plus simplement, cette exhortation à se précipiter aux urnes :
Lamentations ? Vote !"
Encore plus simple, lorsqu'on sait qu'attendre en Israël me fait toujours un effet œuf :
RépondreSupprimerL'attente, à Sion, m'ove.
Ha ha ! Quelle inspiration, bravo !
RépondreSupprimerC'est juste pour combler le manque des Papous dans la tête, en ce premier été où on nous les a sabordés.
RépondreSupprimerOn fait ce qu'on peut : n'est pas Pirotte qui veut…
Certes, mais l'art de faire sourire, qui n'est pas donné à tout le monde non plus, est bien appréciable aussi... !
RépondreSupprimer