Comme quoi, quand le ciel a la tête en bas, il sait manifestement perdre toute décence et se donner des airs de fin du monde...
L'hiver arrive à Santiago.
Et l'attrait grandit encore.
Puisque tu restes.
Là-bas.
Et l'attrait grandit encore.
Puisque tu restes.
Là-bas.
Les photos sont de notre envoyé spécial, devenu correspondant permanent, à Santiago, que l'on s'apprête à rejoindre. On s'éclipse donc quelques semaines, ce qui ne nous empêchera pas, chers amis, chers lecteurs, de boire quelques pisco sour à votre santé !
Car on boit du pisco aussi bien au Chili qu'au Pérou... |
Est-ce une avalanche de roses mauvaises ayant le péché pour parfum ?
RépondreSupprimer"― Est-ce du fard ? ― Est-ce du sang ? ― Étrange coucher de soleil !"
SupprimerQuelle belle référence vous avez trouvée là, merci ! Je ne savais pas que Mallarmé m'attendrait là-bas...
C'est un plaisir Florence, et passez de bonnes vacances "la tête en bas".
RépondreSupprimerMerci beaucoup ! En espérant que je ne reviendrai pas avec les idées trop upside down...
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