mercredi 21 février 2018

Carnets romains (2)



À l’ancienne centrale thermique Montemartini reconvertie en musée, les divinités antiques côtoient les machines industrielles, juxtaposition judicieuse et fort réussie de deux époques, de deux mondes.

Athéna

Dionysos barbu, provenant de l'atelier de Praxitèle

Pothos, fils d'Aphrodite et frère d'Eros,
incarnation du désir nostalgique

4 commentaires:

  1. Merci ! Ce lieu est en effet étonnant, et les dieux et les machines se marient particulièrement bien.

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  2. l'Anonyme anachronique de ce blogue23 février 2018 à 11:09

    Le plus étonnant, c'est tout de même que Praxitèle ait sculpté Dionysos en train de faire un selfie!
    Merci pour ces images, chère Florence.

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    1. Mais oui, vous avez raison ! Je ne l'avais pas remarqué, mais maintenant je ne vois plus que ça ! J'aime beaucoup les télescopages d'époques, cher Anonyme anachronique de ce blogue, dont je salue le passage ici.

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