"Nous arrivâmes au début de l'été 1962 et nous partîmes au début de
l'été 1968. Six courtes années, mais une vie entière, en réalité, une
éducation sentimentale qui ne se répéterait jamais.
Car il ne faut jamais sous-estimer le pouvoir - bénéfique, maléfique, profond et irrésistible - des
lieux."
Belles lectures, chère Florence ! Et Sylvia Plath?
RépondreSupprimerQuant à moi, j'aime beaucoup les vieilles demeures abandonnées. On imagine tant d'histoires !
Sylvia Plath, oui, c'est vrai que ça manque un peu ici !
SupprimerLes vieilles demeures abandonnées, qu'évoquent notamment Modiano et Hardellet, comme là....
Oui, il y a aussi le court de tennis recouvert de feuilles mortes du jardin des Finzi-Contini. Tant de lieux poétiques !
RépondreSupprimerOui, il suffit de savoir les voir...
SupprimerElle change souvent de nom, cette rue. Rue du Temps, du Passé, de la Jeunesse, du Vieux Lycée, de l'Automne bleu et or, de la Rentrée...
RépondreSupprimerC'est vrai, une rue comme une avenue en pente douce...
SupprimerNice shhare
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