Je m'y étais rendu le 28 septembre 1986, pile-poil vingt ans après sa mort, juste avant que ma vie bascule et que je me retrouve derechef à croire au Père Noël.
J'avais eu vachement de mal à trouver la tombe.
Il n' y avait personne, mais une belle rose rouge sur la stèle.
C’était également désert lorsque j’y suis allée, pas une âme qui vive, pas même le Père Noël. Un calme d’ailleurs assez étonnant et irréel, voire surréaliste, car pour venir dans ce havre de paix et de verdure qu’est le cimetière des Batignolles, il faut traverser le chantier monstrueux de la Porte de Clichy. Pas de belle rose rouge, en revanche.
Amateur incorrigible de contrepets, je dirais que l'automne fait roux le cimetière des Batignolles… (enfin, jadis, selon les partisans de Valérie Solanas, par exemple…) Hem, désolé.
Argh. Je ne suis pas spécialiste, mais il me semble avoir trouvé, du moins en partie... Disons que, pour rester chez les surréalistes, ce n'est pas un œil que l'on tranche, n'est-ce pas... ?
En effet, pas même de bœuf (je suis toujours obligé de fermer les miens dès que le nuage passe devant la lune) ni une hanche que l'on treuille : là, on serait plutôt du côté de Diderot et de ses Bijoux indiscrets.
Je m'y étais rendu le 28 septembre 1986, pile-poil vingt ans après sa mort, juste avant que ma vie bascule et que je me retrouve derechef à croire au Père Noël.
RépondreSupprimerJ'avais eu vachement de mal à trouver la tombe.
Il n' y avait personne, mais une belle rose rouge sur la stèle.
C’était également désert lorsque j’y suis allée, pas une âme qui vive, pas même le Père Noël. Un calme d’ailleurs assez étonnant et irréel, voire surréaliste, car pour venir dans ce havre de paix et de verdure qu’est le cimetière des Batignolles, il faut traverser le chantier monstrueux de la Porte de Clichy.
SupprimerPas de belle rose rouge, en revanche.
Amateur incorrigible de contrepets, je dirais que l'automne fait roux le cimetière des Batignolles…
RépondreSupprimer(enfin, jadis, selon les partisans de Valérie Solanas, par exemple…)
Hem, désolé.
Argh. Je ne suis pas spécialiste, mais il me semble avoir trouvé, du moins en partie... Disons que, pour rester chez les surréalistes, ce n'est pas un œil que l'on tranche, n'est-ce pas... ?
SupprimerEn effet, pas même de bœuf (je suis toujours obligé de fermer les miens dès que le nuage passe devant la lune) ni une hanche que l'on treuille : là, on serait plutôt du côté de Diderot et de ses Bijoux indiscrets.
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