Chère Florence, j'ai bien peur que l'an prochain, le président à la pensée complexe et sa ministre de la culture oublieront de commémorer le centenaire de la disparition de G.A., voués à la célébration de la révolution de 68. On boira donc quelques alcools en leur riant au nez !
Chère Florence, j'ai bien peur que l'an prochain, le président à la pensée complexe et sa ministre de la culture oublieront de commémorer le centenaire de la disparition de G.A., voués à la célébration de la révolution de 68. On boira donc quelques alcools en leur riant au nez !
RépondreSupprimerExcellente idée ! Quelques alcools en Brumaire, en écoutant battre nos guetteurs mélancoliques...
SupprimerOh ! Vous avez du Annie Ernaux ! Il faut absolument que je m'y mette !
RépondreSupprimerEn effet, je vous conseille très vivement la lecture de son œuvre ! Il existe notamment un beau Quarto Gallimard, joliment intitulé "Écrire la vie".
SupprimerOui, je l'ai offert à ma compagne. Il faut que je le lui dérobe. Merci.
SupprimerIl est des vols indispensables, je suis sûre que vous serez absous.
SupprimerPromis, Florence, on ne l'oubliera pas !
RépondreSupprimerMerci pour cette promesse !
SupprimerItou, on n'oubliera pas.
RépondreSupprimerEt si l'oubli se devait d'être officiel, ce ne sera que tant mieux : nous célèbrerons entre happy fiew l'enchanteur pourrissant.
Oui, en bonne compagnie se souvenir du poète blessé et trinquer à sa mémoire, joli programme tout en affinités électives.
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