Sans doute, cher Promeneur… Mais si nous voulons être un peu plus optimiste (et, pourquoi pas, en ces sombres temps, ne pas justement tenter de bousculer un peu notre pessimisme naturel), ne pourrions-nous pas dire aussi que la voie des rêves - alors que bien souvent, dans nos quotidiens contraints, nous n’avons plus, ou ne prenons plus, le temps de rêver -, c’est l’attente, la parfois merveilleuse attente, qui pourrait la libérer... ?
Vous n'avez pas tort. L'attente peut être une jolie chose, effectivement. C'est déjà une façon de quitter les rythmes marchands, et ça, ce n'est pas rien.
Le tout, ici, étant de quitter portables, cellulaires et autres appendices électroniques pour le simple bonheur d'un regard se perdant dans le vague du ciel.
Une belle (et triste) métaphore, chère Florence : nous faisons attendre nos rêves...
RépondreSupprimerSans doute, cher Promeneur…
SupprimerMais si nous voulons être un peu plus optimiste (et, pourquoi pas, en ces sombres temps, ne pas justement tenter de bousculer un peu notre pessimisme naturel), ne pourrions-nous pas dire aussi que la voie des rêves - alors que bien souvent, dans nos quotidiens contraints, nous n’avons plus, ou ne prenons plus, le temps de rêver -, c’est l’attente, la parfois merveilleuse attente, qui pourrait la libérer... ?
Vous n'avez pas tort. L'attente peut être une jolie chose, effectivement. C'est déjà une façon de quitter les rythmes marchands, et ça, ce n'est pas rien.
SupprimerLe tout, ici, étant de quitter portables, cellulaires et autres appendices électroniques pour le simple bonheur d'un regard se perdant dans le vague du ciel.
Voilà, c'est ça, le vague du ciel et la ligne de fuite.
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