Gianni, Antonio, Nicola, saremo sempre con voi... |
« Camarades, aujourd’hui est mort un de mes amis. Il
est mort parce qu’il avait depuis longtemps renoncé à la vie. C’est de cela que
je désire vous parler. De la vie. Pas de la mort. La plus commune aspiration de
tous les hommes, sanctionnée même dans le texte de certaines constitutions, est
la recherche du bonheur... »
Il fallait que vous soyez à Rome pour qu'Ettore passe...
RépondreSupprimerJe me souviens du sentiment doux-amer qui s'était emparé de moi la première fois que j'ai vu Nous nous sommes tant aimés.
Plus jeune encore, à la vision de la Terrasse, j'avais été touché par le personnage de Mario, le député du PCI joué par Gassman, qui écrit des lettres aux pages innombrables à sa maîtresse...
Je n'aurais peut-être pas dû rentrer...
SupprimerLes films d'Ettore Scola (dont également "La plus belle soirée de ma vie", qu'on ne trouve malheureusement pas en dvd je crois) ont marqué de façon indélébile mes (nos) années de jeunesse et notre vision du monde. Il était le dernier encore vivant des maestri de l'âge d'or du cinéma italien aux noms en "i" (même si lui c'était en "a"), au lait duquel nous avons été élevés. Est-ce pour cela, aussi, que sa mort me touche particulièrement ? Comme si une page, à regret, se refermait. Les films et les souvenirs, heureusement, restent.
Les hommes de notre enfance s'en vont les uns après les autres.
RépondreSupprimerDelpech, Bowie, Scola...dans des genres différents.
Il est vrai que cet hiver a été particulièrement meurtrier quand on y pense.
SupprimerEt encore, nous n'en sommes qu'au premier tiers de l'hiver...
SupprimerParlez pas de malheur... On a assez dégusté comme ça !
RépondreSupprimerRassurez-vous, cher Promeneur, je ne suis pas Cassandre ! Mes dons pour prédire l'avenir sont très médiocres :)
SupprimerEt voilà, encore un qui a rejoint l'autre rive(tte) !
RépondreSupprimer"À force d'écrire des choses horribles…" comme disait Molyneux…
Hélas, oui, cher George, encore un, et pas des moindres... On dirait bien que Charon fait en ce moment du zèle. Ou peut-être est-ce en raison du réchauffement climatique que le Styx en crue jette sans pitié les mortels d'une rive à l'autre...
Supprimer