Hier soir, l'automne avait au théâtre de l’Athénée-Louis-Jouvet les couleurs chaudes de la voix sensuelle de Maud, enfin de Françoise Fabian, intelligence et malice, classe folle et charme intact. Le temps qui passe et celui qui ne passe pas. Nostalgie douce et mélancolie joyeuse égrenées au fil d'une douzaine de chansons essentiellement écrites pour elle, le tout concocté avec la maestria qu'on lui connaît par Alex Beaupain.
Bravo et merci, Madame.
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