Tout à la joie de voir un de mes (deux) écrivains préférés recevoir aujourd'hui le Prix Nobel de Littérature, je ne résiste pas à la tentation, juste pour le plaisir, de republier ICI les billets évoquant Patrick Modiano que j'ai publiés depuis les quelque dix-huit mois que je tiens ce blog.
Et tout à la joie aussi de savoir que d'ici une heure environ je récupérerai à la Librairie Charybde Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier, que justement (hasard objectif ?), j'avais fait mettre de côté pour aujourd'hui.
Bravo, Monsieur Modiano, toutes les félicitations d'une lectrice fidèle et admirative !
À la t[olk]ienne, seigneuresse des [maudits] anneaux !
RépondreSupprimerNous n'aurons de cesse de retourner dans le café de la jeunesse perdue, en compagnie de Maurice Raphaël et de la belle Louki / Kaki…
Merci pour ces liens, cher George, et à la tienne, ce n'est guère l'heure mais tant pis !
RépondreSupprimerLe coll roulé de Patrick n'est pas mal non plus, ça a dû influencer le jury !
RépondreSupprimerSo chic. L'argument choc, Nobel oblige. Et puisqu'on parle de cols roulés, pensez à la somptueuse collection de Frédéric, dans L'Amour l'après-midi. Vous voyez, tout se tient.
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