Le jour où je suis entrée dans l'antre de Joseph Trotta, rue Beauvoisine à Rouen, non tantum je ne savais pas encore que J. allait y trouver de belles éditions bilingues de l’Iliade et de l'Odyssée ("Repassez dans une heure, le temps que je dégage l'accès"), sed etiam je me suis dit qu'en comparaison le joyeux bazar de la
Librairie Entropie
avait l'air d'une chambre de petite fille modèle...
Fantastique !
RépondreSupprimerDans le même genre de merveilleux capharnaüm : n'y avait-il pas, rue Boulard à Paris, non loin d'un caboulot nommé le Vin des rues, un libraire à l'identique - des piles à s'écorcher les épaules - qui vendait un nombre monstrueux de catalogues d'expositions ?
J'ai le souvenir d'y avoir repéré celui de l'exposition sur Vienne, en 1986, L'Apocalypse joyeuse...
Je ne sais pas, pour la rue Boulard, cher Promeneur. Mais, pas très loin, j'en avais repéré une autre rue Campagne Première.
SupprimerJ'ai vu encore pire, une photo parue me semble-t-il sur le blog Feuilles d'automne : une librairie en Italie encombré d'un fouillis ahurissant, avec dans les allées des baignoires (!) débordant de bouquins en vrac.
RépondreSupprimerMais l'imparfait n'est pas de mise, cher Promeneur : aux dernières nouvelles, la librairie de la rue Boulard existe toujours !
Ah j'aimerais bien voir cette photo... (j'ai vaguement cherché sur Feuilles d'automne, sans trouver pour le moment.)
SupprimerLes Italiens ont tout compris (comme souvent) : des bains de livres, je suis sûre que c'est bien mieux que les bains de lait d'ânesse pour entretenir la jeunesse et la beauté !
Ça a été un peu compliqué à retrouver, mais grâce à Yves c'est enfin fait : ici.
RépondreSupprimerÉtonnant en effet, merci !
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