Le jour où je suis tombée par hasard, dans le cadre
professionnel, sur une liste contenant un Frédéric Mouret, je suis restée rêveuse
et perplexe jusqu’à ce que je réalise que ce nom m’évoquait comme une synthèse
de Frédéric Moreau et Emmanuel Mouret. J’attends maintenant la Frédérique, Virginie
ou Judith Arnoux.
Florence, profession : éducatrice sentimentale.
RépondreSupprimerAvez-vous pensé à la faute de l'abbé Mouret ?
Je n’y ai pas pensé du tout, Patrick ! Du moins pas tout de suite, seulement après coup, et de façon raisonnée. Spontanément, plutôt qu’un pur enfant de la fiction mes pensées ont certainement préféré créer un être hybride né à la fois du roman et du réel, et inconsciemment sans doute, le prémunir de toute tâche liée à une faute éventuelle.
RépondreSupprimerTache, bien sûr. Et merci à l'ami Vincent pour sa vigilance !
Supprimer"Une sorte de paradis sous la forme d'une femme" : quelle merveille !
RépondreSupprimerEn effet ! Je crois que dans le roman Flaubert écrit "une sorte de paradis sous forme humaine", mais cette variante ne manque pas de charme, surtout dite par Jean-Pierre Léaud à Françoise Fabian.
SupprimerEt entre nous, la beauté a beau (et pour cause !) être éternelle, n'oublions pas que tout ce qui est beau varie…
RépondreSupprimerFlaubert a d'ailleurs une obsession toute particulière pour la beauté. N'oublions pas en effet son "Ça, lent, beau", sorte d'éloge à la lenteur dont s'inspirera Paul Lafargue quelques années plus tard.
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