lundi 30 novembre 2015

Terminer novembre en noir et blanc




Concorde, taxi, pluie

2 commentaires:

  1. Cet automne parisien fut sanglant. Il est possible que tout cela -la douceur de vivre, le cachemire doux des vêtements, le cuir fin des gants qui habillent les mains comme une seconde peau, la marche vives des jolies femmes et le regard amusé de ceux qui les observent à la dérobée, les vitrines des librairies, les jardins publics-, il est possible, donc, que cela cesse un jour, et que Paris solde après inventaire, puis ferme définitivement. Aux survivants, il restera votre blogue, vos rêveries et vos « récits secrets ». C'est ainsi qu'ils se rappelleront la douceur des choses. Je vous salue, Florence.

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  2. Merci infiniment Patrick pour ces mots sensibles et mélancoliques, ainsi que pour vos régulières visites. Je vous salue aussi, en noir et blanc ou en couleur, comme il vous plaira. Puissiez-vous avoir tort quant au sort de notre chère ville, vous qui en êtes également un inlassable passant, témoin et passeur... Mais quoi qu'il en soit, vous serez toujours le bienvenu ici, tant qu'il nous sera permis d'y appliquer le programme que vous décrivez si joliment.

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