dimanche 20 octobre 2013

The Midnite Man and the mockingbird


Calvin Russell, étrangement, c'est à la Réunion que je l'ai découvert.
Puis ce fut un rendez-vous manqué, puisque j'avais des billets pour aller le voir à Paris, lors d'un concert qui n'eut jamais lieu. Il était gravement malade, d'un de ces trucs dont on ne se remet pas. Le cœur, le foie, paraît-il, enfin la vie, une vie dont il avait passé en prison, en de nombreux séjours, plus de dix ans.  
Calvin Russell, c'est le Texas, l'Amérique profonde de l'Ouest et du Sud, celle de la route. C'est du rock et du blues râpeux. Et puis dans un monde où, comme il le dit si bien dans Free in freedom, tous les jours un peu plus :

We are analyzed-digitized-standardized-and corporatized
Capitalized-democratized-homogenized-and advertized

Baptized-normalized-sanitized and dehumanized...

... Calvin Russell c'est aussi des ballades poignantes à écouter dans le cœur noir de la nuit, comme celle-ci.

So, baby, now close your eyes, and listen to my words...

I hear the whistle of the Midnite Man
rollin' down the Texas plain
Such a beautiful song
but it sounds so wrong
Till I get you back again oh oh ohh
There's something missing in this poor
heart of mine
Like an empty boxcar out on
the railroad line

Oh how I miss you - I miss you
oh how I miss you
With every breath that I take
The whipporwill and the mockingbird
they make a sound like you
ain't never heard
Still I miss you - oh how I miss you
I miss you - oh how I miss you
yes I miss you
With every breath that I take

1 commentaire:

  1. Cela n'a rien à voir avec le présent message ; je voulais vous dire, Florence, que j'avais commandé, hier Estate violenta, que je n'ai pas vu. Il me semble que je devrais éprouver quelque chose de fort. Si c'est le cas, je vous en ferai part, car je vous le devrais.

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